Moment Espigas — Quand une jeune maman marche sans douleur jusqu’au marché

Le corps se transforme. Les pieds gonflent. Le dos râle. Et même le trottoir de la boulangerie devient un sommet à gravir.
Mais voilà : enceinte jusqu’aux oreilles ou presque, on n’a pas envie de lâcher son style. Et surtout, on veut marcher — sans avoir l’impression de traîner deux parpaings attachés aux chevilles.
Chez Espigas, on a vu passer des mamans au huitième mois, parfois au bord des larmes à l’idée de remettre une chaussure rigide. On les a vues essayer nos espadrilles, souffler, s’asseoir, se relever. Et dire : « Ah ouais. Je marche. Vraiment. »
Parce qu’à ce stade, le moindre pas est une victoire. Et chaque victoire mérite d’être jolie.
Pas de couture dure. Pas de semelle qui claque. Une toile souple, qui laisse de l’espace. Une légèreté qui donne l’impression d’enlever un sac à dos invisible. Et une stabilité douce, qui permet de poser le pied à plat, tranquillement, dans la rue comme à la maison.
On parle ici de confort fonctionnel. Mais on parle aussi d’allure. Parce qu’on a le droit d’avoir bonne mine même quand on a pris 17 kilos, qu’on ne voit plus ses pieds et qu’on sort acheter des légumes pour ce couscous qui lui fera peut-être pointer le bout de son nez.
Trois modèles testés et approuvés par des ventres ronds et des pieds sensibles :
- Espadrille blanche à lacets : souplesse et maintien tout en douceur.
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- Sneakers vert : un amorti de rêve pour les dernières semaines.
- Tennis chinée gold : à porter sans chaussettes, pour se sentir fraîche sans effort.